euh non... tous les beer bar de Pattaya ont la barfine à 300.
en fait dans ton post tu décris le genre de ladyboy que je détecte dans le bar et alors je passe à la suivante.
pour les freelancers, je suis embêté car je n'ai pas l'occasion de vraiment leur parler et voir leur comportement avant de fixer un RDV. et les freelancers ca s'énerve très rapidement si en la voyant je décide de lui filer 300 baht de taxi et de ne pas donner suite...
enfin, ca doit être une question de goûts et de couleurs!
Quelques potins de ladyboys
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Samutprakan
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Comme j'essaye de l'expliquer, les freelancers ne constituent pas un milieu homogène. On commence par des ladyboys échappés de leur bar et ça va jusqu'à la beauté qu'on a gratuitement par un jour de chance.
Tu devrais ouvrir un fil sur le sujet ou créer des fiches et les renseigner.
Quoi qu'il en soit, je suis bien vacciné contre les ladyboys de bar. Tu n'arriveras pas à me convaincre.
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Samutprakan
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Voici le genre de potins qu'on n'aime pas raconter. C'est une histoire triste comme la chanson du petit âne gris. Il s'agit de celle Naomi, ladyboy à Pattaya.
A vrai dire, je ne connais pas grand chose d'elle. Lorsqu'on m'a montré sa photo avec les logos de ladyboy69.com, ça me disait vaguement quelque chose mais sans plus.
Je ne veux pas jouer au nostalgique, mais c'était l'époque où les ladyboys qui faisaient une vidéo porno avaient du chien. Et du chien, je trouve que Naomi en avait.
Il y a une autre photo que j'ai manquée sur laquelle on la voit prendre la pose de manière bien sensuelle à moitié allongée sur un billard. Ou alors, j'ai mal vu et il s'agit de celle-ci où elle a joué la starlette devant un escalator d'accès à une discothèque dans Walking street tard dans la nuit.
Si je l'avais rencontrée à cette époque, je l'aurais probablement évitée : bien en chair, certes mais j'aime les ladyboys minces voire un peu plus maigres, et puis entre une starlette (à l'aise) et une starfish (étoile de mer en anglais mais aussi une starllette chieuse pour les punters anglais), il n'y a parfois qu'un pas. J'évite aussi les ladyboys qui séduisent un peu trop de client (et par conséquent Pattaya de plus en plus). Ceci dit, je n'aurais certainement pas refusé l'occasion de la tester au lit si l'occasion s'était présentée quand elle était plus jeune.
Puis, elle a quitté Pattaya, peu suivie par ses admirateurs. Il y a 2 ans, elle a annoncé sur son compte facebook qu'elle ne voulait plus faire de rencontre, même avec des types de passage dans sa province. Heureusement (ou malheureusement, je ne sais pas dire), un punter un peu fou, mais plus humain que la moyenne a retrouvé sa trace et l'a rappelée au bon souvenir des autres. Un autre ladyboy a posté (sur son facebook) une capture d'écran d'un vidéochat avec elle au printemps de cette année.
Attention, l'image est dure.
Bien sûr, elle a toujours toutes ses dents malgré son masque de vieillard. On a annoncé qu'elle souffait d'un mal inconnu et qu'elle avait encore besoin d'argent pour ses soins. Personne n'a voulu citer la maladie, tout au plus les dernières infections que son système immunitaire avait laissé passé. Pas de message non plus sur l'absence de mesure préventive. Il n'y a pas que les ladyboys qui cette mentalités. Beaucoup de punters à Pattaya agissent à l'identique : avant d'être contaminé, ce n'est pas la peine et une fois contaminé, c'est trop tard. On peut toujours demandé de l'aide (financière) pour contrer le mauvais coup du destin.
J'ai encore vu une autre photo où on la voit dans son lit d'hôpital, bien entourée de ses amis, un jeune homme (avec une tête de provincial, pas de beau gosse), deux filles et un ladyboy (à moins que ce ne soit l'inverse). Elle est encore plus maigre et on apprend qu'avant d'avoir reçu les sommes escomptées pour ses soins (oui mais quels soin ?), elle s'est éteinte à la fin du mois d'avril.
ça fait mal de voir une si belle jeunesse fauchée par l'imprudence comme ça. Je pense qu'elle avait les moyens de rester sexy comme ladyboy tout en s'approchant de la quarantaine. Espérons que sa mort pourra inciter certains chiens fous à adopter des comportements plus adultes pour le plaisir de toutes et tous et dans le respect de la vie.
A vrai dire, je ne connais pas grand chose d'elle. Lorsqu'on m'a montré sa photo avec les logos de ladyboy69.com, ça me disait vaguement quelque chose mais sans plus.
Je ne veux pas jouer au nostalgique, mais c'était l'époque où les ladyboys qui faisaient une vidéo porno avaient du chien. Et du chien, je trouve que Naomi en avait.
Il y a une autre photo que j'ai manquée sur laquelle on la voit prendre la pose de manière bien sensuelle à moitié allongée sur un billard. Ou alors, j'ai mal vu et il s'agit de celle-ci où elle a joué la starlette devant un escalator d'accès à une discothèque dans Walking street tard dans la nuit.
Si je l'avais rencontrée à cette époque, je l'aurais probablement évitée : bien en chair, certes mais j'aime les ladyboys minces voire un peu plus maigres, et puis entre une starlette (à l'aise) et une starfish (étoile de mer en anglais mais aussi une starllette chieuse pour les punters anglais), il n'y a parfois qu'un pas. J'évite aussi les ladyboys qui séduisent un peu trop de client (et par conséquent Pattaya de plus en plus). Ceci dit, je n'aurais certainement pas refusé l'occasion de la tester au lit si l'occasion s'était présentée quand elle était plus jeune.
Puis, elle a quitté Pattaya, peu suivie par ses admirateurs. Il y a 2 ans, elle a annoncé sur son compte facebook qu'elle ne voulait plus faire de rencontre, même avec des types de passage dans sa province. Heureusement (ou malheureusement, je ne sais pas dire), un punter un peu fou, mais plus humain que la moyenne a retrouvé sa trace et l'a rappelée au bon souvenir des autres. Un autre ladyboy a posté (sur son facebook) une capture d'écran d'un vidéochat avec elle au printemps de cette année.
Attention, l'image est dure.
Bien sûr, elle a toujours toutes ses dents malgré son masque de vieillard. On a annoncé qu'elle souffait d'un mal inconnu et qu'elle avait encore besoin d'argent pour ses soins. Personne n'a voulu citer la maladie, tout au plus les dernières infections que son système immunitaire avait laissé passé. Pas de message non plus sur l'absence de mesure préventive. Il n'y a pas que les ladyboys qui cette mentalités. Beaucoup de punters à Pattaya agissent à l'identique : avant d'être contaminé, ce n'est pas la peine et une fois contaminé, c'est trop tard. On peut toujours demandé de l'aide (financière) pour contrer le mauvais coup du destin.
J'ai encore vu une autre photo où on la voit dans son lit d'hôpital, bien entourée de ses amis, un jeune homme (avec une tête de provincial, pas de beau gosse), deux filles et un ladyboy (à moins que ce ne soit l'inverse). Elle est encore plus maigre et on apprend qu'avant d'avoir reçu les sommes escomptées pour ses soins (oui mais quels soin ?), elle s'est éteinte à la fin du mois d'avril.
ça fait mal de voir une si belle jeunesse fauchée par l'imprudence comme ça. Je pense qu'elle avait les moyens de rester sexy comme ladyboy tout en s'approchant de la quarantaine. Espérons que sa mort pourra inciter certains chiens fous à adopter des comportements plus adultes pour le plaisir de toutes et tous et dans le respect de la vie.
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Samutprakan
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On ne le saura jamais. Je suis parti du principe qu'elle était séropositive vu l'ambiance de manque de sérieux dans le milieux. Je pense qu'une image choc de temps en temps peut servir même si ça fait mal.
Un autre point que j'ai remarqué : il y avait une demande pour lui envoyer de l'argent, soit pour ses soins soit pour d'éventuelle funérailles sur son compte facebook et cette demande était bien sûr relayée par quelques punters bien introduits dans le milieu. On peut toujours essayer et tabler sur le sentiment de culpabilité pour essayer de gratter. Une russe me disait des thaïs en région touristqiue "ils feraient payer l'air qu'on respire", mais je crois que les gens (les farangs) entourant les milieux de la prostitution ladyboy ne manquent pas une occasion sur ce registre.
Un autre point que j'ai remarqué : il y avait une demande pour lui envoyer de l'argent, soit pour ses soins soit pour d'éventuelle funérailles sur son compte facebook et cette demande était bien sûr relayée par quelques punters bien introduits dans le milieu. On peut toujours essayer et tabler sur le sentiment de culpabilité pour essayer de gratter. Une russe me disait des thaïs en région touristqiue "ils feraient payer l'air qu'on respire", mais je crois que les gens (les farangs) entourant les milieux de la prostitution ladyboy ne manquent pas une occasion sur ce registre.
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Samutprakan
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Encore un décès survenu au mois d'août. Il s'agit de celui de Balloon (ou Rose) un femboy qui travaillait dans un bar à Patong (Phuket) en 2013/2014. J'aurais presque pu la rencontrer si je n'avais pas trouvé mon bonheur dans un des bars de soi Crocodile.
D'un naturel discret et réservé dit-on, Balloon trabaillait dans ce bar réputé pour ses ladyboys accros à toutes sortes de substances et de pratiques peu recommandables. Elle partageait une location avec un ladyboy qui avait du quitter Phuket en urgence à cette époque, l'histoire ne dit pas pourquoi (mais on m'a dit il y a quelques années qu'elle fumait de la glace).
Balloon avait eu une liaison avec un russe, liaison qui n'a duré qu'un temps. Elle était retournée vivre à Phayao dans le nord de la Thaïlande où elle souffrait d'une maladie qu'il est tabou de citer.
D'un naturel discret et réservé dit-on, Balloon trabaillait dans ce bar réputé pour ses ladyboys accros à toutes sortes de substances et de pratiques peu recommandables. Elle partageait une location avec un ladyboy qui avait du quitter Phuket en urgence à cette époque, l'histoire ne dit pas pourquoi (mais on m'a dit il y a quelques années qu'elle fumait de la glace).
Balloon avait eu une liaison avec un russe, liaison qui n'a duré qu'un temps. Elle était retournée vivre à Phayao dans le nord de la Thaïlande où elle souffrait d'une maladie qu'il est tabou de citer.
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valsaint
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Samutprakan a écrit :Encore un décès survenu au mois d'août. Il s'agit de celui de Balloon (ou Rose) un femboy qui travaillait dans un bar à Patong (Phuket) en 2013/2014. J'aurais presque pu la rencontrer si je n'avais pas trouvé mon bonheur dans un des bars de soi Crocodile.
D'un naturel discret et réservé dit-on, Balloon trabaillait dans ce bar réputé pour ses ladyboys accros à toutes sortes de substances et de pratiques peu recommandables. Elle partageait une location avec un ladyboy qui avait du quitter Phuket en urgence à cette époque, l'histoire ne dit pas pourquoi (mais on m'a dit il y a quelques années qu'elle fumait de la glace).
Balloon avait eu une liaison avec un russe, liaison qui n'a duré qu'un temps. Elle était retournée vivre à Phayao dans le nord de la Thaïlande où elle souffrait d'une maladie qu'il est tabou de citer.
bonjour samut peux tu nous dire quelques chose sur cette 'Chalita Pattaya" qui annonce sur sexmodel à paris 17e d'une trés grande beauté vraiment troublante!!