Dans ma jeunesse je passais les étés sur la Costa Dorada en Espagne. Presque chaque soir je prenais la voiture et partais à l'aventure à Barcelone. C'était en pleine "movida" et les lieux de débauche ne manquaient pas
Je me rappelle la discothèque Babel (plus tard Divertido) ou à partir de 3h les tapineuses du Camp del Barça, les masseuses et les artistes du Bagdad venaient s'amuser........et finir la soirée avec un jeune gars actif
putain...rien que d'y penser je bande déjà !
moi aussi j'ai quelques superbes histoires à vous raconter, pendant mon époque cours Florent, j'étais un grand consommateur de trans, devant le théâtre Hebertot il y'avait une trans, j'ai appris par la suite que c'était un trav, elle tapinait là tard dans la nuit, toujours chaussée de cuissardes rouges bas et pj hyper excitante, je raccompagne un pote qui à l'époque m’hébergeait rue Dautancourt et je file la voir, le souci c'est que j'avais qu'un gros billet, je ne me souviens plus la somme, je savais au fond de moi que de ne pas avoir de monnaie c'était source à embrouille, je vais quand même voir la trans, je lui explique mon souci, et lui demande de me rendre la monnaie sur cette grosse coupure.
Elle me répond "pas de problème"
On monte chez elle, elle avait un logement rue Boursault , elle me tringle dans tous les sens comme une véritable salope à trans, une fois les festivités terminées, je lui demande de me rendre ma monnaie et là....problème.
Le ton monte, elle se met face à moi retire sa perruque et me sort une lame, elle me menace en me disant que si je ne parts pas elle va me crever, et c'est là que ma culture cinématographique vient à ma rescousse, lorsque j'étais jeune j'ai vu et revu avec mes potes au grand rex (nous passions par la sortie de secours) toute la série des films avec Belmondo.
Je me souviens très bien d'une séquence, lors de laquelle notre Bebel national se retrouve face à un type armé d'un cran d’arrêt, il lève les mains paumes face à son adversaire en signe de soumission, en disant "ok t'es le plus fort tu as gagné" l'autre idiot baisse la garde et là notre Bebel lui enfile un coup de tête.
C'est ce que j'ai fait, compte tenu de la longueur de sa lame, j'ai engagé toutes mes forces dans ce coup de tête, j'ai entendu les os du nez craquer, pour terminer à lui fracasser la tête sur la table de nuit ( très belle table de nuit dont le dessus était en marbre) je voulais lui en mettre pour son argent, enfin plutôt pour le mien qu'elle venait de me voler.
Puis je l'ai cherché cet argent, compte tenu du bruit occasionné par la bagarre et de la crainte qu'un voisin appelle les flics, je me suis cassé, j'ai pas trouvé mon fric, je ne suis pas sortie par la porte d'entrée de l'immeuble, j'avais du sang sur moi, la chemise déchirée, je ne voulais pas tomber nez à nez avec la police, je suis donc passé par la cour de l'immeuble, mais en fond de cour il y'avait une haute grille qui donnait sur la voie ferrée, j'ai escaladé en faisant attention de ne pas me rentrer les pics des grilles dans le cul, et je suis partie en longeant cette voie ferrée comme un coy boy solitaire, sans siffler mais en soufflant car je courais en me maudissant d'avoir succombé pour une énième fois à la tentation.
raymont a écrit :moi aussi j'ai quelques superbes histoires à vous raconter, pendant mon époque cours Florent, j'étais un grand consommateur de trans, devant le théâtre Hebertot il y'avait une trans, j'ai appris par la suite que c'était un trav, elle tapinait là tard dans la nuit, toujours chaussée de cuissardes rouges bas et pj hyper excitante, je raccompagne un pote qui à l'époque m’hébergeait rue Dautancourt et je file la voir, le souci c'est que j'avais qu'un gros billet, je ne me souviens plus la somme, je savais au fond de moi que de ne pas avoir de monnaie c'était source à embrouille, je vais quand même voir la trans, je lui explique mon souci, et lui demande de me rendre la monnaie sur cette grosse coupure.
Elle me répond "pas de problème"
On monte chez elle, elle avait un logement rue Boursault , elle me tringle dans tous les sens comme une véritable salope à trans, une fois les festivités terminées, je lui demande de me rendre ma monnaie et là....problème.
Le ton monte, elle se met face à moi retire sa perruque et me sort une lame, elle me menace en me disant que si je ne parts pas elle va me crever, et c'est là que ma culture cinématographique vient à ma rescousse, lorsque j'étais jeune j'ai vu et revu avec mes potes au grand rex (nous passions par la sortie de secours) toute la série des films avec Belmondo.
Je me souviens très bien d'une séquence, lors de laquelle notre Bebel national se retrouve face à un type armé d'un cran d’arrêt, il lève les mains paumes face à son adversaire en signe de soumission, en disant "ok t'es le plus fort tu as gagné" l'autre idiot baisse la garde et là notre Bebel lui enfile un coup de tête.
C'est ce que j'ai fait, compte tenu de la longueur de sa lame, j'ai engagé toutes mes forces dans ce coup de tête, j'ai entendu les os du nez craquer, pour terminer à lui fracasser la tête sur la table de nuit ( très belle table de nuit dont le dessus était en marbre) je voulais lui en mettre pour son argent, enfin plutôt pour le mien qu'elle venait de me voler.
Puis je l'ai cherché cet argent, compte tenu du bruit occasionné par la bagarre et de la crainte qu'un voisin appelle les flics, je me suis cassé, j'ai pas trouvé mon fric, je ne suis pas sortie par la porte d'entrée de l'immeuble, j'avais du sang sur moi, la chemise déchirée, je ne voulais pas tomber nez à nez avec la police, je suis donc passé par la cour de l'immeuble, mais en fond de cour il y'avait une haute grille qui donnait sur la voie ferrée, j'ai escaladé en faisant attention de ne pas me rentrer les pics des grilles dans le cul, et je suis partie en longeant cette voie ferrée comme un coy boy solitaire, sans siffler mais en soufflant car je courais en me maudissant d'avoir succombé pour une énième fois à la tentation.
Il faut que tu fasse un post la meilleure mésaventure lol
Une fois au bois il y a quelques années au bois j'étais à pied j accoste une trans, on va dans les sous bois il faisait chaud j'étais en chemisette avec mon portable (Nokia zippo) pour les connaisseurs, la trans se frotte en corps à corps et la je la vois prendre mon téléphone et descend pour me sucer et le pose à mes pieds, j'avais capté tout son manège une fois fini je lui dis où est mon portable elle commence à paniquer je la menace elle s'énerve je lui mets une droite et un balayage et elle me rend mon phone et ma tune en supplément
mikoko a écrit :Une fois au bois il y a quelques années au bois j'étais à pied j accoste une trans, on va dans les sous bois il faisait chaud j'étais en chemisette avec mon portable (Nokia zippo) pour les connaisseurs, la trans se frotte en corps à corps et la je la vois prendre mon téléphone et descend pour me sucer et le pose à mes pieds, j'avais capté tout son manège une fois fini je lui dis où est mon portable elle commence à paniquer je la menace elle s'énerve je lui mets une droite et un balayage et elle me rend mon phone et ma tune en supplément
Il y a environ 12 ans au bois, une trans argentine blonde que je venais voir à chaque fois que je passais (au moins une fois par mois), je la suçais, elle me suçais, je la prenais mais je refusais de me faire prendre.
Une nuit ou nous nous étions mis bien à l'écart, loin des lieux de tapinage, au milieu d'un chemin en sous bois, à force de persévérance, pour lui faire plaisir, j'ai fini par accepter.
Nous nous sommes retrouvés complètement nus, elle s'assit sur un banc et me demanda de m'asseoir sur elle et son membre qui s'érigeait avec envie au vu de mes petites fesses qu'elle convoitait depuis au moins 1 an. j'obtempérai avec excitation et frayeur (c'était la première fois), elle me fit entrer en elle délicatement puis me fit sautiller sur ses cuisses.
Je ne dirais pas que cette expérience m'a rendu passif mais j'ai pris du plaisir à voir et à sentir cette trans en moi.
Je lui ai laissé recommencer chez elle une autre fois avant de la perdre de vue et de la garder en souvenir mais ce moment dans les bois restera particulier le reste de ma vie et un des moments les plus excitants.
Un soir dans une discothèque de Barcelone j'entends parler d'un bar caché "after" situé dans les beaux quartiers. J'y vais vers 6 heures du matin et je rencontre une artiste trans très connue du Bagdad, l'argentine Claudia Roman. Elle n'est pas franchement mon type car très grande et blonde, un peu comme Pamela Dicaprio, mais on ne refuse pas une expérience sexuelle nouvelle, ainsi que je la suis chez-elle. Le problème fut que entre ligne et ligne de cocaïne elle essaya de violer mon derrière, chose que j'ai toujours refusé
Du coup, on se montait des plans à 3 ou 4, je m'occupais de son cul pendant qu'elle pistonnait un autre gars. Ce fut la première fois que je vis en vif un membre de 25 cm (réels et non brésiliens) pénétrer d'un coup dans un postérieur
Elle devenait paranoïaque à force de sniffer et les vacances se terminèrent ainsi. Par la suite je revins à mes valeurs surs.
Au siècle dernier, je me suis aventuré au Bois de Boulogne, ma Mobylette et moi. J'avais 18 ans, les poches vides mais les couilles pleines, et une irrésistible envie d'aller mater les prostituées (femmes à l'époque) qui exerçaient leur métier au fond du Bois. Il faisait nuit, et je circulais au hasard des routes, lorsque j'aperçu à un endroit peu fréquenté une superbe femme, très sexy, jupe courte, talons, silhouette agréable. Je garais alors mon fidèle destrier et entrepris de demander le tarif à la belle dame. Cinquante francs (7,50 euros), c'était cher, mais mon désir gonflait déjà mon pantalon. Je la suivis alors dans les bosquets, l'endroit était très sombre, je ne mis pas longtemps à baisser mon pantalon et à lui montrer l'objet qui pointait. Elle me dit alors en me tournant le dos "c'est mieux par derrière". Mon cerveau allait exploser ! Une sodomie, ma première !
Je m'exécutais, et au bout d'un petit moment, l'idée me vint d'aller fouiller un peu son entrejambe, histoire de me dégourdir les doigts. Je mis la main sur un sexe d'homme, bien tendu, bien ferme, d'une taille moyenne mais vigoureuse. J'enculais donc un travesti. L'idée ne me fut pas désagréable, bien au contraire, et je me mis à la (le) besogner assez puissamment, jusqu'à ce que je me répande par de gros jets dans son cul offert. Dans mon excitation, je ne m'étais pas aperçu que la belle, avait joui dans ma main qui la masturbait. Depuis ce temps, je ne me lasse toujours pas d'aller à la rencontre de ce beau troisième sexe.
